Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

san francisco - Page 4

  • Pas cher!

     
    Avouons-le... 10 $ pour un an d'abonnement, ce n'est pas cher! 83% de réduction sur le prix facial. Le bonheur, non? Mais comment font ils pour s'en sortir? me demande mon camarade Guillaume, tapi dans son bureau au coeur du Financial District de San Francisco... Par la pub!!!
    Wired est un magazine de niche... De grosse niche... alliant geeks, über-geeks, geeks blindés de la Silicon Valley, geeks  de start-up en attente d'IPO... Bref, un magazine de centre d'intérêt, un magazine "lifestyle"... Le Vogue du passionné de technologie... Côté annonceurs, des voitures (Saab, BMW...), de la technologie (Apple, GeekSquad...), des boissons, des hôtels...
    Pour le magazine, se constituer une base d'abonnés solide, est le meilleur moyen de garantir à ses annonceurs une audience stable. L'abonné est acquis pour au moins un an. L'audience n'est pas tributaire des inévitables fluctuations de la vente en kiosque. Bien évidemment, une telle politique implique une maîtrise des coûts de production. D'un autre côté, sur un territoire aussi vaste que les Etats-Unis, la gestion des abonnements est plus simple que la gestion d'un circuit de vente au numéro. Elle permet d'ajuster la production et évite un trop fort taux d'invendus. Une présence minimale en kiosque impose un minimum d'exemplaires présents physiquement dans les rayonnages, sans garantie de trouver preneur. On pourra gloser sur la motivation de lecture de l'abonné. Sera-t-il aussi motivé par la lecture de son magazine selon qu'il l'aura reçu de façon mécanique dans sa boîte aux lettres ou qu'il aura fait la démarche volontaire d'aller au kiosque pour s'en porter acquéreur?
    Le kiosque est toutefois nécessaire aux primo-accédants... Ils trouveront dans le magazine les précieux coupons qui lui permettront de s'abonner à bas prix. La présence en kiosque étant finalement paradoxalement,presque incluse dans le coût de recrutement d'abonné...
    PS: Accessoirement, Wired appartient au groupe Condé Nast, qui possède entre autre Vogue, The New Yorker...
    Pour plus d'informations sur le lectorat et la diffusion du titre, voir ici. En gros: 620 000 exemplaires, dont 89% d'abonnés. Plus de 2 millions de lecteurs, soit un taux de circulation tout à fait raisonnable de 3,5 lecteurs par numéro.
     
     

    Lien permanent
  • San Francisco - Day 4 1/2

    medium_IMGP1229.JPGJe suis déçu. Très déçu. Cette fois-ci, je n'ai pas gagné. Alors que jusqu'à présent je gagnais à tous les coups... Et oui, cette fois-ci je n'ai pas eu le privilège... d'être sélectionné pour une fouille supplémentaire "réservée aux porteurs d'un passeport étranger" avant d'accéder à la salle d'embarquement! A chaque fois, ils m'avaient fait le coup... en prétendant que cette sélection était purement aléatoire... Mais bon, 5 années consécutives depuis novembre 2001, on finit par se persuader qu'il doit existe des moyens de cibler les contrôles aléatoires... Bref, malgré le niveau d'alerte sur "orange", il doit y avoir du relâchement ou bien à force, Big Brother a fini par me considérer comme définitivement inoffensif... C'est presque vexant... Quoi qu'il en soit, si les contrôles de sécurité ont été rapides, le vol AA 1943 vers Los Angeles est parti avec une heure de retard. Arrivée tardive à LA. Mais récupération rapide des bagages (petite angoisse par anticipation depuis la lecture d'un article de USA Today relatif à l'augmentation des pertes de bagages sur les vols intérieurs américains. American Airlines étant en bonne position dans le palmares des compagnies qui vous amènent à bon port tout en égarant de façon définitive vos valises et effets personnels...)

    Lire la suite

    Lien permanent
  • San Francisco - Day 4

    medium_IMGP1227.JPGSan Francisco a connu la folie de la bulle internet au début du siècle. Puis la dépression. Aujourdhui, les affaires reprennent. La ville démontre une attractivité sans précédent pour les entreprise liées aux nouvelles technologies. D'après le San Francisco Chronicle, 1/4 des bureaux loués, l'ont été à des entreprises de technologie (seulement 14% en 2004!). Non seulement la ville attire les start-ups, mais aussi les ténors du secteur. On murmure que Google aurait signé une lettre d'intention pour s'installer en ville pour y installer 800 employés. Le siège, connu sous le nom de Googleplex restant à Mountain View. Yahoo vient de louer des bureaux dans le Financial District pour y installer des commerciaux et son service Flickr. Microsoft installerait des bureaux à Westfield. L'avantage du centre ville est d'offrir des conditions de travail optimale aux employés des entreprises de technologie en leur épargnant des heures de transport. Se rendre dans la Silicon Valley et en revenir pouvant prendre jusqu'à trois heures par jour.
     

    Lien permanent
  • San Francisco - Day 3 4/5 (bis)

    Traversée de la Silicon Valley. Des panneaux routiers aux noms évocateurs... 

    Mountain View... Google... 

     

     

    Stanford... 

     

     

    Palo Alto... 

     

     

    Sand Hill... où se concentrent les VC

     

     

    sans oublier CupertinoRedwood City, Woodside (hyper résidentiel... Larry Ellison y a son pied à terre...).

    Concentré d'intelligence, technologie, innovation...

     
    Lien permanent